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redéfinir l'évolution humaine

Avec l'Amicale Semailles

L'Amicale Semailles est un esprit d'inclusion animant une équipe volontaire de chercheurs indépendants expérimentant la vie. Sans se lancer dans les devinettes et les interprétations arbitraires, elle tente d'analyser de près diverses données et hypothèses sur le sujet complexe de "la condition humaine". La perspective "judéo-chrétienne" d'avant "la tradition" fait l'objet de ce premier rapport dénué de tout motif révisionniste et de toute prétention doctorale. D'autres écoles de pensée seront examinées au cours de prochaines publications.

Dans"VERSETS TABOUS: Cris du Bon Sens... Semences d'Emancipation" , l'Amicale démontre que:
1. par-dessus tout, les auteurs auxquels on attribue les livres de "la Bible" n'entendent pas instruire leur audience sur la genèse du genre humain ni sur l'histoire d'un peuple ou celle d'un homme. Leur objectif principal est plutôt de transmettre leur vision de la problématique du développement humain -un sujet d'actualité générale.

Ils ne sont pas des professeurs d'histoire ou de morale au sens classique. Ils ne prônent pas le conformisme ("ne vous conformez pas à l'air du temps, mais laissez-vous transformer par le renouvellement de l''intelligence", "on vous a dit..., mais moi, je vous dis...")
et ne semblent pas militer pour instruire le public sur la genèse du genre humain ni sur la saga épique d'un certain peuple ("ne vous attachez pas à d'interminables généalogies ouvertes à tous les débats", "ne vous attachez pas aux mythes juifs", "évite les disputes de la fausse science")
ou d'un individu donné ("A partir de maintenant, nous ne considérons plus personne selon la chair; et si nous avons considéré christ selon la chair, nous ne le considérons plus de cette manière").

En règle générale, ces "semeurs", versés dans

Ceci fait de "la Bible" une collection dynamique visant essentiellement à former et non pas à informer, à enseigner et non pas à renseigner. Ces enseignements sont donnés dans un langage parfois direct /franc, par moment brutal, mais le plus souvent subtil ou symbolique, pour ne pas dire voilé ou hermétique.

Ceci explique que les auteurs bibliques font un usage fréquent de paraboles, de métaphores ou de figures de style, de dramatisations, de personnifications, d'anthropomorphismes et de genres littéraires proches de l'allégorie et de la fable, mettant en scène des animaux faisant la conversation avec les humains; tout ceci dans le souci de donner une leçon ou de faire passer un message. Un tel message pourrait donc être facilement entravé ou affaibli et même être perdu par le fait d'une lecture improprement littérale ("la lettre tue").

2. lorsqu'ils sont transcrits et traduits de manière intègre et compétente et s'ils sont bien compris, concordants et mis en contexte, les textes bibliques articulent la question de l'évolution humaine autour de ce qui serait une "doctrine du bon sens" basée essentiellement sur la compréhension ou l'expansion de la conscience.

A l'évidence, ce système se démarque de l'obscurantisme ou de "la foi aveugle", du puritanisme élitiste, du show-business , du culte de la personne ou de l'iconolâtrie et de l'alarmisme lié aux préoccupations eschatologiques.

Selon le standard biblique, toutes ces pratiques ainsi que les "problèmes" de l'existence et l'expérience humaine commune seraient une pure création (un "miroir déformant") de l'ignorance, elle-même nourrie par "le vice" de l'oubli ou le "défaut" de l'inconscience qui, vraisemblablement, serait une condition congénitale (originelle) et décidément chronique.

La "bonne nouvelle", annonce "la Bible", est que le "secret" de "la guérison", donc "la clé de la connaissance", résiderait tout simplement dans le souffle-esprit en tous , ici, aujourd'hui, maintenant, soit dans le connu /le vécu immédiat ou le moment proche ("le prochain").

Découvrir, reconnaître ou "revenir" à cette "plénitude de l'instant" dans l'intimité de l'être serait la quête primordiale et la vocation de tous, donc à la portée de tous, sans toutefois être accessible à tous.

En effet, actualiser ou accomplir pareil potentiel serait une "mission-suicide" surhumaine , unique, bouleversante et mortifiante comme un baptême de feu, et relevant du "miraculeux" ou du phénoménal.

Aussi, "la Bible" met-elle régulièrement en garde contre les pièges ou les fausses "solutions" que représenteraient collectivement: les croyances-slogans, les "bergers", les "visions prophétiques", les signes et prodiges, les observances ou les "oeuvres de la loi", sans oublier le savoir /les connaissances livresques ou la sagesse des hommes ("la sagesse du monde").

Au fait, selon l'approche "judéo-chrétienne", le facteur déterminant de tout changement serait la conscience du souffle-esprit ("la connaissance", la connaissance de soi, la conscience d'être)
qui, seule, ferait la différence entre individus .
Il ne s'agirait pas ici de la conscience morale variable, mais de la présence d'esprit ou de l'attention soutenue. Bien entendu, "le fruit du souffle-esprit" constituerait la preuve concrète de cette différenciation ("vous les reconnaîtrez à leurs fruits", "le fruit du souffle est amour, joie paix, patience, sincérité, bien, fidélité, douceur, maîtrise de soi").
Ce qui rejoindrait l'adage: "science sans conscience n'est que ruine de l'âme.

Ainsi:
"la vérité" serait la personnification par excellence de l'invariable, l'insondable, l'absolu, l'impersonnel, l'essentiel et l'éternel instant présent en "alliance perpétuelle" avec le visible et l'invisible.

"Le mal" serait d'être ailleurs, loin de l'instant ou hors de soi-même, donc d'être "excommunié" /désarticulé /désajusté /sans équlibre ni consistance, d'être tiraillé de toutes parts, de perdre le sens des réalités, d'être plongé dans la confusion, de tomber au pouvoir de l'illusion ou de l'imagination et de chuter dans la vanité, en parlant de l'orgueil ou de "l'identification", des apparences et préjugés , de la convoitise et de la jalousie , de l'attachement ou de la possessivité, des préoccupations du lendemain et des remous du passé, etc.

"Faire le mal" reviendrait pour ainsi dire à "dégénérer" ou à "périr".

"La foi" ("la confiance") serait de se rendre innocemment à l'impératif du présent en prenant le temps ("la patience") de contempler ou d'apprécier partout la justesse de toute chose, et en faisant "le bien".

"Le bien" serait d'"aimer le prochain" ou d'"aller profondément dans le connu", donc de vivre pleinement le moment ou de faire à fond ce que l'on fait.

"Vivre par la foi" reviendrait par conséquent à moissonner "la bonne nouvelle" ou à se l'approprier en toute sérénité /sans crainte-peur, donc à être contenté, égal à soi-même, par delà les voeux, les attentes, les espoirs, les intérêts opportunistes, et à célébrer chaque moment comme si c'était le dernier.

"La sagesse" serait d'être "éclairé" ou d'avoir "la connaissance" intuitive /inspirée, et de retrouver le bon sens, l'équilibre et la maîtrise de soi ("revenir à soi") pour être transformé ou "regénéré".

"La maturité"serait de "confesser sa faute", de discerner "le bien" du "mal", de jouer la prudence et la souplesse à leur "double-jeu" et de comprendre que l'enjeu ("le salut") est tout à fait personnel.

"La prière" ("la vigilance") serait de "faire le vide" sans cesse ("se purifier", "faire silence") pour garder l'esprit sain /la "conscience claire"
et avoir du souffle (l'énergie) pour combattre "la tentation".

"L'amour" ("le lien de la perfection") serait "mourir d'avance à l'illusion et à la vanité, donc de rompre une fois pour toutes et sincèrement avec "le mal".

"La perfection" serait d'être libéré /délivré de tout "mal" ou de toute faute et d'"être un /entier /réconcilié", donc de transcender la dualité,
non pas dans un au-delà hypothétique, mais ici-bas, aujourd'hui même.

Ce compte-rendu laisserait-il entendre que "la Bible" consacre en finalité le "travail" de la pleine conscience dans l'action totale, juste /équilibrée /harmonieuse?

Pourquoi certains textes bibliques parlent-ils de l'humain comme s'il était
sous hypnose ou envoûté, sous le coup de l'ivresse, sous l'influence d'un poison, sous l'emprise de la folie, ou comme si celui-ci était captif à l'intérieur de ses sens engourdis.

Ceci expliquerait-il le rôle d'"éclaireur-guérisseur" assumé par les principaux personnages de "la Bible", parmi lesquels:
Moise et Josué, son assistant,
"le serviteur de l'Eternel", dans la vision d'Esaie, plus tard relayé par Josué de Nazareth ou Jésus et Paul de Tarse.

Puisque, d'une part, les états de conscience mentionnés auparavant sont tous caractérisés par:
le conditionnement ou la suggestibilité, la non-fiabilité, l'incapacité
et l'abscence de lucidité ("ils ont des yeux, mais ils ne voient pas");
et vu que, d'autre part, le langage de tous les jours est garni d'expressions d'impuissance comme: "j'ai fait ça malgré moi", "c'était plus fort que moi", "je ne sais pas ce qui m'a pris", etc.,
que faut-il dire du degré de conscience du commun des mortels? Comment considérer ce que ce dernier prend ordinairement pour "la réalité" ou l'état de veille dans lequel, croit-il, il est doué de raison et de libre-arbitre?

Le rapport de l'Amicale Semailles rendrait-il suspects ou fantaisistes les concepts populaires d'identité, de "droits humains", de morale, de mérite et, par voie de conséquence, ferait-il de l'humain un robot ou une marionnette?

Qu'est-ce que l'humain? "Qui est ce mortel dont la femme accouche"? Serait-il "condamné" ou bien "prédestiné"?

A en croire la "doctrine du bon sens", l'humain peut-il effectivement "progresser" ou surmonter sa condition, autrement dit trouver "la paix" ("le repos") et jouir du "bonheur", sans préalablement une prise de conscience /un second souffle /un regain d'énergie /un "réveil", donc sans "la connaissance" (le don de "la sagesse") qui, rappelle "la Bible", a pour précurseur l'humilité ou l'obéissance ("la crainte de l'Eternel est le commencement de la connaissance")?    

L'Amicale Semailles est un esprit d'inclusion animant une équipe volontaire de chercheurs indépendants expérimentant la vie. Sans prétention doctorale, elle tente d'étudier de près diverses données et hypothèses sur le paradoxe de "la condition humaine". La perspective "judéo-chrétienne" d'avant la tradition fait l'objet de ce premier rapport dénué de tout motif partisan ou révisionniste.

Dans"VERSETS TABOUS: la Voie de l'Esprit Sain, le Pouvoir de la Simplicité", l'Amicale démontre, d'une part, que le sujet principal de "la Bible" est "la condition humaine", non pas l'histoire de l'humain, d'un peuple ou d'un homme, encore moins l'instruction civique et morale; d'autre part, que les textes bibliques -lorsqu'ils sont intègres, concordants et bien identifiés- définissent l'évolution humaine à travers ce qui serait une "spiritualité du bon sens" .

Selon cette vision, "l'expérience humaine" commune ("problèmes", nécessités, émotions contradictoires, ambivalences, conflits intérieurs, déceptions, insatisfactions, déclin, impasses, non-sens, etc.) serait une création (un "miroir déformant") de l'ignorance nourrie par le vice de l'oubli ("l'inconscience originelle").

La simple et "bonne nouvelle", annonce "la Bible" à ceux qui prennent conscience ("ceux qui peuvent entendre"), est que la "clé" ("la porte") du véritable changement, si possible, résiderait pleinement dans le souffle ("l'esprit" /"la parole" /"le messie" /"le royaume") en tous ("le coeur"), ici, aujourd'hui, maintenant ("le prochain" /l'immédiat, *3).

Découvrir ce "secret" intime serait la "mission" première de l'humain ("cherchez d'abord le royaume"). Développer ou accomplir ce potentiel (être "témoin" /"manifestation", "entrer dans le royaume") serait une "mission-suicide" mortifiante, difficile et surhumaine ("c'est par beaucoup de tribulations...", "plus facile à un chameau", "aux hommes, c'est impossible", "nul ne peut me voir et vivre").

Aussi, dit "la Bible", les croyances alarmistes, les "prophètes", les "bergers", les "visions", les "oeuvres" (zèle apostolique, observances, "formules", "offrandes", "charité", culte de la personne et du symbole, etc.) ne seraient en eux-mêmes que des ombres de solution ou des pièges;

"la vérité" ("Dieu", *0.) serait l'essentiel, l'éternel, le seul et l'unique instant présent en "alliance perpétuelle" avec le visible et l'invisible;

"la foi" ("la fidélité /la confiance") serait de se rendre inconditionnellement ("obéir") à "la loi" de "la vérité" ("reconnaître /craindre /servir /faire la volonté de Dieu") en appréciant l'opportunité du moment ("rendre grâces pour tout", "se contenter"), en prenant le temps ("être patient") et en "faisant le bien";

"le bien" ("la justice") serait de garder l'équilibre ("aimer le prochain comme soi-même", "aimer de tout son coeur et de toute sa pensée", "en parole et en acte", "en esprit et en vérité", etc.) en s'harmonisant avec le processus et avec soi-même ("marcher avec Dieu");

"le mal" ("le péché/l'iniquité/la tentation") serait de perdre l'équilibre ("perdre les sens, être insensé/égaré/confus/dissipé/loin/dans les ténèbres") et de tomber dans l'illusion (être au "pouvoir séduisant du malin/du méchant/de la chair/du monde"), l'agitation, le doute (être "tiède/ partagé/ à la dérive /adultère/ prostitué/ idolâtre"), donc de dévier de "la vérité" ("être menteur, rebelle /hors-la-loi, sans foi ni loi, perverti") et de "périr" par pure ignorance (être "mort/engourdi/endurci");

"la sagesse" serait d'avoir "la connaissance" intuitive /révélée (" recevoir la parole, voir la lumière, être voyant", *11), retrouvant ainsi le bon sens et la maîtrise de soi ("se repentir/se convertir/renaître/revenir", *12);

"la maturité" ("l'intelligence") serait de "confesser" son "péché", de discerner "le bien" du "mal" et de jouer la prudence et la souplesse à leur jeu changeant tout en comprenant que l'enjeu est personnel;

"la prière" serait de "veiller" ou de faire le vide sans cesse ("jeûner/être pauvre/se retirer/faire silence") pour garder l'esprit sain, la "conscience pure /claire" ("être enfant de lumière") et avoir du souffle (l'inspiration, l'énergie) pour combattre "la tentation" ("le bon combat");

"l'amour" ("le lien de la perfection, la voie extrême") serait de "mourir" aux illusions ("être baptisé/disciple, se sacrifier, quitter le monde") en tranchant résolument avec la vanité, soit avec l'identification à l'ego (convoitise, intérêts), au lendemain (cupidité, soucis), au passé (rancune, vengeance, jugement, attaches), aux apparences (hypocrisie, préjugés), etc.;

"la perfection" ("être un") serait de transcender la dualité (la dernière illusion) et l'instinct de survie, donc d'"être la vie", "de parvenir à connaître (être) la vérité" et d'"être libre" ("libéré du péché et de la mort", "vaincre le monde").

Ce compte-rendu laisserait-il entendre que "la Bible" -associée surtout au fanatisme aveugle (exclusion, intolérance) et au puritanisme (pharisaisme, autoritarisme, conservatisme, conformisme)- consacrerait en fait la "vertu" du juste milieu, le "travail" de la présence d'esprit (la pleine conscience) et l'"idéal" de la célébration (joie, jouissance, "participation", "moisson", renouvellement, émancipation, etc.) dans "la plénitude de l'instant"?

Justifierait-il le fait que ces écrits parlent de l'humain comme si celui-ci etait sous hypnose ("Dieu plongea l'homme dans un profond sommeil"), sous le coup de l'ivresse ("voici que moi-même je fais de Jérusalem une coupe d'étourdissement"), sous l'emprise de la folie ou victime de la personnalité multiple ("légion") -cas définis par le conditionnement ("l'Eternel endurcit le coeur du Pharaon"), la suggestibilité ("vos dirigeants vous égarent"), l'impuissance /le manque de contrôle ("je ne fais pas le bien que je veux"), l'abscence de lucidité ("ils ont des yeux, mais ils ne voient pas") et la "foi de rêveur"?

Confirmerait-il les dictons "l'erreur est humaine", "malheur à l'homme qui se confie à l'homme" et le refrain "le rêve est ma réalité"? Ce qui rendrait suspects des concepts populaires tels que l'identité, les "droits humains", la morale, le mérite, le libre-arbitre, et ce qui ferait de l'humain un robot ou une marionnette.

A en croire "la Bible", l'humain peut-il jamais surmonter sa condition, réaliser ses espoirs ou épuiser ses possibilités sans "la grâce" (le don de "la sagesse") ou "le salut" ("...qui me délivrera de ce corps de mort?"), donc sans un second souffle /un regain d'énergie /un "réveil" ("réveille-toi, toi qui dors, réveille-toi d'entre les morts...", "lève-toi Jérusalem, qui as bu de la main de l'Eternel le fond de la coupe d'étourdissement", "...et leurs yeux s'ouvrirent!")?                                      

* Autres équivalences et références possibles

0.  "Mystère", "Père", "l'Eternel", "Je suis", "Tout en tous", etc.
1. "christ"
2. "la vie éternelle", "la glorification"
3.  le vécu immédiat, le moment proche, le connu, le mouvement, le processus
4. "vivre par la foi"
5. "obéir à la vérité", se soumettre / se rendre à Dieu
6. "le droit", "faire le bien"
7. "la sagesse de Dieu"
8. "faute", "défaut", errements
9. "être dispersé/ disseminé/ exilé/ vendu/ captif"
10. être sans "la connaisance", être hors de soi , "éteindre l'esprit"
11. être "pardonné", être "retrouvé", "delivré/ libéré, racheté", "guéri /rétabli ", "justifié", "rappelé"/ "appelé", "saisi", "tiré de l'abîme/ du néant"
12. "passer de la mort à la vie", "renaître de ses cendres", "naître d'esprit"
13. "rentrer en soi", "entrer dans sa chambre et fermer la porte"
14. "garder sa lampe allumée", "marcher dans la lumière"
15. "le commandement"
16. "être en christ", "mourir en christ","accepter christ", "donner sa vie", "boire sa coupe", "prendre sa croix"
17. "redevenir comme un tout-petit", "s'humilier", se dégonfler
18. "faire un", "être parfait", "parvenir à la perfection", "être témoin de la vérité", "connaître Dieu", "voir Dieu", "entrer dans le royaume"
19. frappé, sommeil, aveugle, étourdissement, séduction, transport
20. insensé, perdu, égaré, troublé, stupidité, confusion, illusion, mensonge
21. "détruire la mort"