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"L'insensé marche dans un chemin, le sens lui manque, et il dit de chacun : <voilà un insensé>".

"Si tu vois un homme qui est sage à ses propres yeux, il y a plus d'espérance pour un insensé que pour lui".

 

A ce point, on s'achemine vers ce qui constitue un dilemme majeur, en l'occurence comment avoir la certitude qu'on est bien lucide et en possession de tous ses moyens à l'instant donné; ou simultanément, comment certifier que tout ce qu'on prend pour sa vie passée n'aura pas été un long rêve.

Si on est bien imbu de cette ambiguité, force serait aussi de reconnaître que l'instant présent /l'ici et maintenant, quoique subtil et insaisissable, demeure au bout du compte la certitude ultime, la réalité incontournable, indéniable, immanente, par extension transcendante ("... au-dessus de tout, parmi tous et en tous"), ayant pour tributaire principal la réalité du souffle ("l'esprit", l'énergie), et se ramifiant solidement dans les réalités de la solitude, de la souffrance et de "la mort" (le décès physique).

Par conséquent, l'instant présent resterait le sommet de la liberté, la source et la clé de toutes les possibilités ("... tout est de lui, par lui et pour lui"), le trait d'union naturel avec le non-connu ("... ce qui est visible et ce qui est invisible"), "le secret des dieux", "la vérité" ...

En investissant l'instant présent d'une autorité aussi absolue, on pourrait contempler la distincte possibilité que le principe d'unité universelle ("tout est un" /"tout est lié") se ramène à dire qu'"il n'existe que l'instant présent", que "plus rien n'est important" et que "tout est vanité". Dans la foulée, on dirait alors que manifester cette "vérité" est le sens de la vie, l'essence de vivre ou la raison d'être, s'il en faut ... Pareillement, on pourrait avancer que la "vigilance" /l'éveil à cette conscience d'unité demeure l'enjeu, l'idéal, le bien primordial, le moteur du progrès ("... opère tout en tous"), le ciment de la "réussite".

Ainsi, sans forcément verser dans le Nihilisme et l'Epicurisme, on envisagerait plus sereinement que la dualité et ses rejetons (le temps, l'espace, la distance, la hiérarchie, la société, les races, les intérêts, les lois, les formes et les définitions, etc.) soient vraisemblablement des émanations, donc dépourvues de substance propre, et condamnées à cesser, ou alors des concepts /des vues de l'esprit /des perceptions /des projections, tous virtuels, tous relatifs, tous éphémères, tous illusoires, donc sans enjeu décisif ...

De là, si on est convaincu de la futilité de toute rébellion face à "la vérité" du moment présent, on comprendrait du même coup la nécessité de "garder le souffle" (garder le sang-froid, garder la tête froide, faire silence, prendre le temps ("être patient") et de se réconcilier sagement avec les réalités de la solitude, de la souffrance et de "la mort", sans nécessairement être misanthrope, masochiste ou suicidaire.

Aussi, le vrai sage rendrait-il son culte au souffle et à l'instant présent ("adorer en esprit et en vérité"). Il n'est donc pas étonnant qu'un tel culte soit le creuset de toutes les disciplines de la conscience qui sont enseignées dans les grandes écoles spirituelles. En s'initiant à cette pratique, on deviendrait un adepte de "la voie du milieu" qui fait combiner, partout dans la vie, le détachement du témoin-passant avec la pleine présence du participant.

On en viendrait alors à accepter que accuser, condamner, s'indigner, s'irriter, garder rancune, se venger, se plaindre, envier, s'attacher, s'alarmer, avoir du remords, avoir du chagrin, avoir du regret, avoir de la pitié, être résigné, douter /être "tiéde", en somme agir par émotion, dans l'inconsccience et à demi-mesure, c'est clairement mal faire /commetre une faute ("faire le mal"), c'est assurément être coupé de la réalité /être excommunié /mal faire ("pécher"); c'est sûrement être éloigné de "la vérité" ("être menteur", "être perverti"); c'est évidemment être dans l'erreur /faire fausse route ("être perdu /égaré"); c'est manifestement être séduit ("être tenté", fauter); c'est définitivement manquer de sagesse /perdre le bon sens ("être insensé /stupide") et c'est tout comme râter sa vie ("chuter" /"périr").

Tragiquement, pour ainsi dire, le commun des mortels perd contact avec son souffle /perd l'esprit avant même de s'endormir dans son lit ou de rendre le dernier soupir. Avec l'énergie du désespoir, il combat, nie ou fuit la solitude, la souffrance et "la mort". Il lui est plus naturel de vivre dans le passé, dans l'attente et dans l'oubli ("ne pas connaître la vérité") que de vivre l'instant présent avec la pleine conscience ("rendre témoignage à la vérité"). L'espoir peut-il faire vivre dans ces conditions?

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